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Beruhige dich! oder Emotionsregulation

Die Fähigkeit zur Emotionsregulation bezieht sich auf alle Strategien, die wir verwenden, um unser emotionales Erleben zu beeinflussen.

Einige Strategien laufen automatisch ab. So neigen wir beispielsweise bei einer Gefahr wie einem giftigen Tier dazu, wegzuschauen. Andere Strategien sind bewusster und erfordern die Aktivierung der exekutiven Funktionen, bei denen es sich um kognitive Prozesse auf höherer Ebene handelt. Ein wichtiges Merkmal der exekutiven Funktionen betrifft ihre begrenzten Ressourcen. Wenn wir also bereits viel Energie für andere Aktivitäten aufwenden, die eine starke Selbstkontrolle erfordern, wird es umso schwieriger, unsere Emotionen zu regulieren.

Viele Strategien können eingesetzt werden, bevor die Emotionen vollständig aktiv werden. So können wir beispielsweise:

- bestimmte Situationen im Voraus wählen, z. B. sich nicht in Diskussionen verwickeln lassen, von denen man weiß, dass sie eskalieren werden;

- die Situation verändern, z. B. sein Kind bitten, auf Papier statt auf dem Tisch zu malen;

- auswählen, auf welches Merkmal der Situation man sich konzentriert, z. B. sich von einem Streit zwischen den Kindern ablenken;

- die Bedeutung der Situation neu bewerten, z.B. indem man sich sagt, dass es am Ende gar nicht so wichtig ist, ob unsere Tochter um 19:30 Uhr oder um 19:45 Uhr ins Bett geht.

(van der Linden, 2004)

Andere Strategien beziehen sich auf die bereits aktivierten Emotionen. Hier können wir:

- die Art der Emotion ändern, z. B. an ein freudiges Ereignis denken, um in einem stressigen Moment Freude zu empfinden, obwohl unsere Stimmung ursprünglich eher genervt war;
- die Intensität der Emotion ändert, z. B. indem wir die Bauchatmung praktizieren, um unsere Angst vor einer Prüfung zu verringern;
- die Dauer der Emotion ändern, z.B. indem wir unsere Wut unterdrücken, indem wir auf dem Heimweg von der Arbeit Musik hören, damit wir für unsere Familie emotional verfügbar sind;
- die eine oder andere Komponente der Emotion ändern: sich bemühen, übertrieben wütend auszusehen und zu lachen, wenn das eigene Kind etwas Dummes getan hat.
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Was ist eine Emotion?

Es gibt sieben grundlegende Emotionen: Angst, Wut, Traurigkeit, Ekel, Überraschung, Freude, Liebe/Zärtlichkeit.

Jede dieser Emotionen hat eine adaptive Funktion, da sie ein bestimmtes Verhalten erleichtert. So aktiviert die Angst in unserem Körper das, was wir brauchen, um vor einer Gefahr schnell zu fliehen. Bei Hindernissen oder Ungerechtigkeiten dient Wut dazu, das zu zerstören, was uns im Weg steht.

In unserem Alltag neigen wir dazu, Emotionen als Einheiten zu betrachten. So sprechen wir von „Der Angst“ und denken dabei gleichzeitig an den damit einhergehenden Körperausdruck, die physiologischen Veränderungen, wie Schweißausbrüche oder das subjektive Erleben.

Jede Emotion besteht jedoch aus mehreren Komponenten. Nehmen wir zum Beispiel: Max, der gerade seine schwierige Lego-Konstruktion fertiggestellt hat, als sein kleiner Bruder alles umwirft, indem er einen Ball auf die Konstruktion wirft. In Max steigt spontan eine starke Wut auf, mit folgenden Komponenten:

- Gedanken: "Was für ein Idiot, ich habe Stunden gebraucht, um dieses Flugzeug zu bauen!"

- biologische Veränderungen: Max atmet schneller, die Hautfarbe seines Gesichts färbt sich rot und er verspürt Muskelverspannungen.

- Veränderungen im Ausdruck, in den Gesten, in der Stimme: Max zieht die Augenbrauen zusammen, ballt die Fäuste und seine Stimme wird lauter.

- ein Impuls (Tendenz zur Handlung): Max möchte fluchen und seinen kleinen Bruder schlagen.

- ein subjektives Erlebnis: Max spürt, dass er wütend ist.

In Anlehnung an Desseilles, M. & Mikolajczak, M. (2013). Vivre mieux avec émotions. Paris : Odile Jacob

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Calme-toi ! ou la régulation émotionnelle

Les capacités de régulation émotionnelle font référence à toutes les stratégies que nous utilisons pour influencer notre expérience émotionnelle.

Certaines stratégies sont automatiques. Ainsi, en présence d’un danger tel qu’un animal venimeux, nous avons tendance à regarder ailleurs. D’autres stratégies sont plus conscientes et nécessitent l’activation des fonctions exécutives, qui sont des processus cognitifs de haut niveau. Une caractéristique importante des fonctions exécutives concerne leurs ressources limitées. Ainsi, lorsque nous dépensons déjà beaucoup d’énergie dans d’autres activités qui nécessitent un autocontrôle important, il nous sera d’autant plus difficile de réguler nos émotions.

Bon nombre de stratégies sont mises en place avant que l’émotion ne s’active complètement. Ainsi, nous pouvons
- choisir certaines situations à l’avance, comme par exemple éviter de s’engager dans des discussions dont on sait d’avance qu’elles vont virer à l’escalade ;
- modifier la situation, comme demander à son enfant de dessiner sur du papier plutôt que sur la table ;
- sélectionner sur quelle caractéristique de la situation l’on se focalise, comme par exemple se distraire d’une dispute qui a lieu entre ses enfants ;
- réévaluer la signification de la situation, tel que se dire qu’il n’est finalement pas si important si notre fille se couche à 19h30 ou à 19h45h.

(van der Linden, 2004)

D’autres stratégies portent sur l’émotion déjà bien activée. Ainsi, il peut s’agir de
- changer le type d’émotion, par exemple en pensant à un événement joyeux afin de ressentir de la joie lors d’un moment de stress alors que notre humeur était plutôt énervée à la base ;
- changer l’intensité de l’émotion, par exemple en pratiquant la respiration abdominale afin de diminuer notre peur avant un examen ;
- changer la durée de l’émotion, par exemple en supprimant sa colère en écoutant de la musique sur le retour du travail pour pouvoir être émotionnellement disponible à sa famille ;
- changer l’une ou l’autre composante de l’émotion : s’efforcer d’avoir l’air furieux en riant lorsque son enfant a fait une bêtise.
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C’est quoi, une émotion ?

L’on distingue communément entre sept émotions de base, à savoir la peur, la colère, la tristesse, le dégoût, la surprise, la joie, l’amour/la tendresse.

Chacune détient une fonction adaptative puisqu’elle facilite un comportement spécifique. Ainsi, la peur permet d’activer dans notre corps ce dont nous avons besoin pour fuir un danger à toute vitesse. En cas d’obstacle ou d’injustice, la colère sert à détruire ce qui entrave notre chemin.

Dans notre vie quotidienne, nous avons tendance à considérer les émotions comme des entités unifiées. Ainsi, nous parlons de LA peur, en pensant en même temps à l’expression corporelle qui l’accompagne, les changements physiologiques tels que la sueur secrétée ou encore l’expérience subjective.

Or, chaque émotion comporte plusieurs composantes. Prenons l’exemple de Max, qui vient d’achever sa construction Lego difficile quand son petit frère fait tout tomber en jetant un ballon sur l’ensemble. Spontanément, une colère intense monte en lui avec comme composantes
- des pensées : « quel idiot, j’ai mis des heures à construire cet avion ! »
- des modifications biologiques : Max respire plus rapidement, la couleur de peau de son visage vire au rouge et il ressent des tensions musculaires.
- des changements dans le visage, les gestes, la voix : Max fronce les sourcils, il serre les poings et sa voix monte.
- une impulsion (tendance à l’action) : Max a envie de jurer et de frapper son petit frère.
- une expérience subjective : Max ressent qu’il est en colère.

D’après Desseilles, M. & Mikolajczak, M. (2013). Vivre mieux avec émotions. Paris : Odile Jacob
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Comment aider mon enfant à développer ses capacités de régulation émotionnelle ?

Les pratiques parentales influencent largement le développement cérébral et donc les capacités de régulation émotionnelle de l’enfant. Parmi celles-ci, trois exercent un rôle important, à savoir :
- l’étayage, donc l’encouragement par le parent de partir à la découverte de l’environnement, la redirection de l’attention de l’enfant sur l’activité en cours (verbale ou physique) ;
- la stimulation cognitive qui passe par la proposition d’activités qui stimulent le développement cognitif de l’enfant ;
- la sensibilité, donc le fait d’être à l’écoute des besoins de l’enfant, de mettre des mots sur ses émotions, de montrer sa compréhension à l’enfant.

Il est important d’éviter la surprotection et la discipline sévère car l’enfant n’apprend pas à se réguler lui-même mais s’attend à ce que ses parents le font pour lui.

Fay-Stammbach, T.; Hawes, D.J. & Meredith, P. (2014). Parenting Influences on Executive Function in Early Childhood: A Review. Child Development Perspectives, 0(0):1-7.
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Comment aider mon enfant à gérer une émotion intense ?

Face à un enfant pris par des émotions négatives intenses, la première étape consiste à prendre conscience de notre propre état émotionnel. Comment la réaction de l’enfant nous affecte-t-elle ? Si nous nous sentons bouleversés, ce qui est souvent le cas, il est important de nous calmer nous-mêmes.

Voici quelques astuces pour diminuer rapidement une émotion intense :
1. Pratiquer la respiration abdominale. En posant une main sur le ventre, essayer de le gonfler en inspirant, puis expirer doucement. Inspirer pendant 2 secondes, puis expirer pendant 4 secondes. Augmenter lentement le temps d’inspiration-expiration (3-6 ; 4-8).
2. Nommer 5 choses que l’on voit, 5 choses qu’on entend, 5 choses qu’on sent, 5 choses qui sont proches du corps (tous sens confondus).
3. Sortir de la salle ou aller prendre l’air frais pendant quelques secondes.

Ensuite, il s’agit d’amener le cortex préfrontal de l’enfant à prendre le dessus sur le système limbique (le siège des émotions) en se connectant à lui. Cette connexion peut être créée en se mettant à la hauteur de l’enfant et en mettant des mots sur ses émotions d’une voix calme. Par après seulement, l’enfant sera capable de refléter la situation, de dire ce qui s’est passé et comment arranger les choses.

Cette approche permet de faire d’une pierre deux coups, à savoir de calmer l’enfant sur le moment-même et d’aider son cerveau à développer ses capacités de régulation émotionnelle et d’empathie par la création de nouvelles connexions neuronales.

Siegel, D. J. & Bryson, T.P. (2020). Disziplin ohne Drama. Freiburg im Breisgau: Arbor Verlag.
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Mon enfant se met dans tous ses états pour un rien… du développement des capacités de régulation émotionnelle

Nous ne sommes pas égaux face à nos capacités de régulation émotionnelle. A la naissance, chaque enfant possède déjà une réactivité émotionnelle à l’environnement qui est bien individuelle. C’est ce que nous appelons communément « le tempérament ». A mesure qu’il grandit, il apprend à réguler son état émotionnel. Cet apprentissage est tributaire de la maturation du système nerveux et notamment du cortex préfrontal. La maturation cérébrale est largement influencée par les pratiques parentales et les expériences relationnelles que l’enfant fait tout au long de son développement.

A la naissance, le bébé est largement dépendant de notre présence physique et émotionnelle afin de gérer son stress. En effet, l’on ne peut pas encore parler d’émotions bien différenciées à ce stade. Puis, entre 6 et 12 mois, émerge la première stratégie de régulation émotionnelle consciente, qui est la capacité de détourner son attention. Il est important de tenir à l’esprit que chaque enfant poursuit sa propre trajectoire développementale, déterminée d’une part par son tempérament inné et d’autre part par ses capacités de régulation qui se développent progressivement. Le cortex préfrontal n’arrive à maturité que très tard, vers l’âge de 21 ans.

Fox, N., & Calkins, S.D. (2003). The development of self-control of emotion: Intrinsic and extrinsic influences. Motivation and Emotion, 27, 7-26.

Graziano, P.A.; S. P. Keane & Calkins, S.D. (2010). Maternal Behavior and Children's Early Emotion Regulation Skills Differentially Predict Development of Children's Reactive Control and Later Effortful Control. Infant Child Dev , 19(4): 333–353. doi:10.1002/icd.670.

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Crisis management

In crisis situations, adults are expected to act as adequate role models, maintaining control and resolving situations in a confident manner. The LSCI (Life Space Crisis Intervention) method provides educational specialists with a tool that follows a clear structure and provides safety for students in crisis situations. This security builds trust, which is crucial for successful crisis talks.

During an LSCI, students recognise their own contribution to the conflict and are actively involved in conflict resolution. The aim is to strengthen the personal responsibility of children and young people as members of a community in accordance with their social and emotional development and thus to enable them to return to the group. Thus, participation in the learning process is again possible and the students retain their dignity as a group member or restore it. The CDSE offers regular training courses for specialists on LSCI.
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Didactics and methods

Didactics is about planning learning content, setting the learning goals and the evaluating the planning. In contrast to this, the puropose of methodology is how the learning content is conveyed. It is therefore important to pay sufficient attention to both components so that they can work together. The following questions arise when preparing a lesson:

What content do I want to convey and what do I want to achieve? How can I convey the content as best as possible so that it reaches the students and is consolidated? Which methods are suitable so that the learning process is varied?
What media do I use?

Answering these questions in advance enables a successful teaching sequence.
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Course design

Educational design is a process to enable the learning of competencies and interdisciplinary competence.

This includes the imparting of knowledge, skills and competencies.

By using different methods, social forms, pattern of actions, processes, organisation of the learning space and the use of media, you are creating good conditions of learning.

The class takes into account different learning channels, learning tempos and previous knowledge to promote the development process.
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Class Room Management

An effective classroom managment ist one of the most important factors to create a successful learning environnment. In an effort to have a clear structure, a good communication involving the specific needs of the pupils, you have a positive impact on their development.

When pupils are conscient about the expectations of the teacher, the rules of the class, the encouragment and support during the learning sessions, free spaces to develop personal skills, they are motivated to cooperate.

Calm, serenity and trust in your competence are important factors of success for an effective classroom managment.
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Krisenintervention

In Krisensituationen wird erwartet, dass Erwachsene als adäquate Rollenmodelle die Kontrolle behalten und Situationen souverän klären. Mit der Methode der LSCI (Life Space Crisis Intervention) steht pädagogischen Fachkräften ein Werkzeug zur Verfügung, das nach einer klaren Struktur vorgeht und SchülerInnen in Krisensituationen Sicherheit vermitteln. Durch diese Sicherheit wird Vertrauen aufgebaut, das für erfolgreiche Krisengespräche ausschlaggebend ist.

Während einer LSCI erkennen SchülerInnen den Eigenanteil am Konflikt und werden aktiv in die Konfliktlösung einbezogen. Es geht darum, die Eigenverantwortung der Kinder und Jugendlichen als Mitglieder einer Gemeinschaft entsprechend ihres sozial-emotionalen Entwicklungsstandes zu stärken und damit eine Rückführung in die Gruppe zu ermöglichen. Somit ist eine Teilnahme am Lernprozess wieder möglich und die SchülerInnen behalten ihre Würde als Gruppenmitglied oder stellen sie wieder her. Das CDSE bietet in regelmässigen Abständen Weiterbildungen für Fachkräfte zu LSCI an.
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Didaktik und Methoden

Bei der Didaktik geht es um die Planung der Lerninhalte, das Festsetzen der Lernziele und die anschließende Auswertung der Planung.
Im Unterschied dazu beschäftigt sich die Methodik damit, wie die Lerninhalte vermittelt werden. Daher ist es wichtig, beiden Komponenten ausreichend Beachtung zu schenken, damit ein gutes Zusammenspiel gelingen kann. Bei der Vorbereitung einer Unterrichtsstunde stellen sich demnach folgende Fragen:

Welche Inhalte will ich vermitteln und was will ich erreichen? Wie kann ich die Inhalte bestmöglich vermitteln, damit sie bei den Schülern ankommen und sich festigen?
Welche Methoden eignen sich, damit die Vermittlung abwechslungreich ist?
Welche Medien setze ich ein?

Die Beantwortung dieser Fragen im Vorfeld ermöglichen einen erfolgreiche Unterrichtsequenz.
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Unterrichtsgestaltung

Unterrichtsgestaltung ist ein Prozess zur Förderung fachlicher und überfachlicher Kompetenzen.

Dazu gehört die Vermittlung von Kenntnissen, Fähigkeiten und Kompetenzen.

Mittels unterschiedlicher Methoden, Sozialformen, Handlungsmuster, Verlaufsformen, einer geordneten Raumstruktur und dem Einsatz von Medien werden lernförderliche Rahmenbedingungen geschaffen.

Wenn der Unterricht unterschiedliche Lernkanäle, Lerntempi und Vorkenntnisse berücksichtigt, kann ein Lernprozess entwicklungsfördernd begleitet werden.
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Class Room Management

Wirksames Classroom-Management ist einer der grundlegenden Bausteine für einen erfolgreichen Unterricht. Wenn es ihnen gelingt, den Unterricht so zu gestalten, dass er gut strukturiert ist, auf die spezifischen Bedürfnisse der SchülerInnen eingeht und ihre Haltung dem Lernklima förderlich ist, haben sie viel erreicht.

Wenn SchülerInnen wissen, was sie am Tag erwartet, welche Regeln für einen reibungslosen Ablauf wichtig sind, dass Hilfestellungen und Ermutigungen die Arbeitsphasen unterstützen und Freiräume persönlich genutzt werden dürfen, zeigen sie sich motiviert und kooperativ.

Ruhe, Gelassenheit und Vertrauen in ihre Kompetenz sind wichtige Erfolgsfaktoren für ein gelingendes Classroom-Managment.
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Maltraitance des mineurs

Les professionnels sont parfois les premiers à remarquer des signes de détresse physique ou psychique chez un/e élève. Face à une telle situation, il s´avère important d’être à l’écoute et d´entamer – le cas échéant - les premières démarches d´une procédure administrative, dont le but est d´accompagner le jeune vers des mesures de protection et de poursuivre en justice le/la présumé/e auteur/-trice. Par la sanction du crime ou du délit, cette procédure protège également d´autres jeunes, potentiellement victimes. Un document décrivant cette procédure, qui s’applique à tout soupçon de maltraitance d’un jeune par un adulte et de maltraitance d’un enfant/jeune par un enfant/jeune est mis à disposition sous ce lien.
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Gestion de crises

Dans les situations de crise, les adultes, en tant que modèles, sont censés garder le contrôle et régler les situations en toute souveraineté. La méthode LSCI (Life Space Crisis Intervention) met à la disposition des spécialistes de l´´´ éducation un outil qui suit une structure claire et sécurise les élèves en situation de crise. Cette sécurité renforcera la confiance, qui est essentielle pour régler des crises de manière efficace.

Au cours d’une LSCI, les élèves reconnaissent leur propre part dans le conflit et sont activement impliqués dans la résolution du conflit. Il s’agit de renforcer la responsabilité personnelle des enfants et des jeunes en tant que membres d’une communauté, en fonction de leur niveau de développement socio-émotionnel et de permettre ainsi leur retour dans le groupe. Ainsi, la participation au processus d’apprentissage est à nouveau possible et les élèves conservent ou restaurent leur dignité en tant que membres du groupe. Le CDSE propose régulièrement des formations continues pour les professionnels en matière de LSCI.
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Didactique et méthodes

La didactique consiste à planifier le contenu d’apprentissage, à fixer les objectifs d’apprentissage et à évaluer ensuite la planification. Contrairement à cela, la méthodologie traite de la façon dont le contenu d’apprentissage est transmis. Il est donc important de porter une attention suffisante aux deux composants afin qu’ils puissent bien fonctionner ensemble . Les questions suivantes se posent lors de la préparation d’une leçon:


Quels contenus aimerai-je transmettre et quelles sont les buts que je veux atteindre? Comment puis-je transmettre le contenu le mieux possible afin qu’il atteigne les élèves. Comment est-ce que je peux consolider le contenu? Quelles méthodes conviennent pour offrir une variété. Quels médias et supports pourront être appliqués?

Les réponses à ces questions lors de la préparation permettent à planifier une séquence d’enseignment réussie.
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Organisation des cours

L’organisation des cours est un processus pour soutenir l’apprentissage de compétences et de compétences transversales.

Cela implique la transmission de connaissances, de stratégies et de compétences.

La mise en pratique de différentes méthodes, de formes sociales, de modèles d’action, de formes d’enseignement, de formes d’améngament de l’espace ainsi que l’utilisation de médias établit un cadre propice à l’apprentissage.

Donc un cours qui rend compte de différents modes d’apprentissage, de différents rythmes de travail et de connaissances préalables, optimise le processus de développement.
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Gérance de classe

Une gérance de classe effective est un des clés de réussite pour créer un climat propice à l’apprentissage. L’effort de donner une structure claire à votre cours, de prendre en considération les besoins spécifiques de vos élèves et de vivre une attitude bienveillante rendent possible un bon climat en classe.

Si les élèves connaissent le déroulement de la journée, les règles en classe, les moyens de soutien et d’encouragment pendant les phases de travail, la possibilité de développer des intérêts personnels pendant des temps libres, ils sont motivés et coopérent.

Le calme, la sérénité et la confiance en vos compétences professionnelles sont des facteurs de réussite pour la gérance de classe.